L'enquête (1)
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Pascal Kolber - Treffainguy et l'enquête criminelle :
tous les détails à
à http://7ecrit.com/livre/tortures-psychotroniques-au-goulag-de-schrassig
A la suite, les demandes publiques de
révocation du commissaire principal Christian K. de la police
et de mutation du juge d'instruction directeur Ernest N.
En attendant cette issue logique,
sept vidéo-posts sans prétention sont offerts
sur YouTube aux lecteurs et annoncent la suite de la procédure :
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Episode 1. Les expertises graphologiques : falsifications, aveux et indices.
Les quatre falsifications du commissaire principal Christian K. :
1. Faire passer lui-même Pascal Kolber pour le rédacteur de l'insulte "pédofile" sur le livre (près de la victime).
2. Truquer la prise d'écriture de Charles-Edouard C. de deux manières, en vue d'orienter les analyses graphologiques.
3. Convaincre le juge d'instruction Vincent F. que l'expertise graphologique accablante de Norbert K. doit être écartée et renoncer à un complément d'expertise de celle également accablante de Julien K, demandée par l'expert.
4. Nouer des liens amicaux avec l'expert graphologue, jusqu'à aller boire au bistro avec lui avant les audiences (témoignage et photo de Me Marc Knaff, avocat à la cour).
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Episode 2. Le meurtrier est une personne à la force physique faible :
femme, jeune homme ou homme âgé.
Expertise médico-légale : la personne qui a porté les coups de hache peut être une femme, un homme faible ou un homme âgé, comme Julien K.
Pascal Kolber dénonce au Parquet Julien K. pour abus de faiblesse, ambition criminelle à l'encontre de Camille Kolber et aveu de parricide dés l'année 2008 : les échanges de courriers entre Pascal Kolber et Julien K. sont accablants pour le second.
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Episode 3. Les rapports de Camille et Pascal : assistance et adoption.
Pascal ne s'est jamais désintéressé de Camille Kolber (sept témoins dont le greffier-en-chef de la chambre des députés de Luxembourg).
Camille Kolber et l'argent : fraude fiscale, transferts de fonds et révocation de l'adoption par consentement mutuel.
Les mensonges de Julien K. et les accusations calomnieuses de son avocat.
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Episode 4. Les mensonges, l'instrumentalisation et le suicide de Marina R.
Comment Marina R. a fait de fausses accusations, puis tenté en vain de se rétracter avant de se suicider ? Dans sa lettre d'adieu, elle avoue qu'elle a finalement menti et demande pardon à ses proches et amis. Cette issue triste met en lumière les méthodes de la police judiciaire de Luxembourg, comme d'ailleurs l'avait relevé le juge Prosper K. de la XIIIe chambre criminelle lors des audiences de 2013, qui avait fait l'apologie de la défunte et désapprouvé les choix des policiers.
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Episode 5. Le rôle de Manuel M., ancien amant de Jérémy B.
Pourquoi Manuel M. a t-il poussé cinq personnes de son entourage à aller à la police judiciaire "charger" son ancien amant Jérémy B. : Marina R. (menteuse et suicidée), Guy U. (ancien amant éconduit de Camille Kolber) et son amant (compagnons de partouze de Manuel M.), Chantal M. et Virginie B. (prétendantes éconduites de Jérémy B. et partenaires de partouze de Manuel M.), Deritto I. B. (partenaire de partouze prostitué de Manuel M. et incarcéré pour vol, viol sur mineure, possession et port d'arme à feu) ("le vengeur, les éconduit(e)s et le prostitué" selon la formule de la presse en 2013)
Rôle et motivation du personnage Manuel M.
Instrumentalisation par le commissaire principal Christian K. de la police judiciaire de l'amant éconduit Manuel M. et ses partenaires de partouze.
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https://youtu.be/9AO5f-SPzv4?t=1s
Episode 6. Trafic de drogue, demande de contrat de meurtre, prostitution, vol, port d'arme et viol sur mineure : Deritto I.-B., la mauvaise fréquentation de Julien K. (le frère) et de Manuel M. (l'amant vengeur et ses partouzeuses).
Deritto I.B., un personnage singulier : le prostitué et multi-récidiviste parle depuis la prison aux policiers puis à l'audience de sa rencontre avec Julien K. à Hassel le 1er novembre 2010 au matin, de ses livraisons de stupéfiants dans la famille Kolber, de ses relations de prostitution avec Manuel M., de ses partouzes avec Marina Rama et Manuel M. Il dénonce une soi-disant demande de contrat de meurtre (de Jérémy B.) sur la personne de Camille Kolber, dont on se demande s'il n'a pas changé le demandeur réel avec la complicité du commissaire principal Christian K. au gré d'un accord avec la substitut Martine W. du Parquet, l'exemptant d'une peine pour viol sur mineure.
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Episode 7. Varia : Luxembourg ne répond plus.
Les notes blanches de la police adressées aux magistrats : le juge Prosper K. balance ! Les pressions sur les avocats de Pascal Kolber : la note blanche d'aveu d'usage du psychotronisme comme monnaie d'échange + Pascal Kolber serait privé d'indemnisation pour sa détention et ses suites à la demande du service secret luxembourgeois. Les menaces de mort de policiers sur les personnes de Pascal Kolber et son mari. Le mutisme du Parquet et l'instruction à la dérive : Martine et Ernest sont soutenus politiquement. Courage fuyons ! Pascal Kolber demande des comptes à la police et à la justice : la dérobade des politiques et des médias. Les livres de Pascal Kolber boycottés par certaines librairies luxembourgeoises à la demande d'un policier (aveu filmé d'un libraire).
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Ci-dessous, un extrait de la lettre de Pascal Kolber à Monsieur le Ministre Etienne Schneider de la Sécurité intérieure de Luxembourg.
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Les manquements (liste non-exhaustive) du commissaire principal Christian K. de la police judiciaire de Hamm :
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1. Les investigations de police scientifique :
- un expert français auprès de l’Ecole nationale de la magistrature de Bordeaux - ancien gendarme de haut niveau et commis par Me Glock de la défense - a estimé que « la somme des relevés de police scientifique luxembourgeoise n’est pas matériellement concevable dans le temps indiqué et constitue, par sa masse, une impossibilité technique suggérant une manipulation de l’instruction dés les laudes de l’enquête par le commissaire principal Christian K. ».
- le domicile de Camille Kolber, y compris sa chambre où il a été retrouvé mort - a été le pôle d’attraction de tout le village pendant des heures, et pourtant le commissaire principal Christian K. a pu affirmer que « la scène de crime a été nettoyée professionnellement » et « on ne retrouve que l’ADN de Camille et Pascal Kolber, et celle de Robert (Robby) K., dernier amant en date du défunt ».
- le commissaire principal Christian K a déclaré que le numéro 11 de la rue Killebierg n’aurait pas été investigué vu la surface totale du domicile, ce qui est invalidé par les documents de police scientifique.
- le commissaire principal Christian K. a demandé au médecin qui a constaté le décès de modifier l’amplitude de l’heure du décès de Camille Kolber et le poids du défunt, comme le prouve le rapport médical, point souligné par les magistrats de la cour d’appel de Luxembourg (l’impossibilité technique pour Charles-Edouard C. de se trouver à Hassel la nuit du prétendu décès a été relevée par la cour et a fondé l’acquittement).
2. Quelques actes et postures du commissaire principal Christian K.
- le commissaire principal Christian K. a remis une clef du domicile de Camille Kolber - alors sous scellé de justice à Julien K. - frère de la victime - qui a pu y entrer à loisir, le vider de son contenu et même désosser la maison jusqu’à ce que menaçant de ruine, le juge d’instruction Ernest N. en autorise la démolition.
- le commissaire principal Christian K. a remis le corps de Camille Kolber à son frère Julien K., malgré la demande de Pascal Kolber de restitution, en arguant de divers motifs insultants et ce en violation de la loi.
- le commissaire principal Christian K. a fait passer une consultation sur un site internet de cinéma, lorsque Charles Edouard C. désirait s’enquérir du synopsis avant de voir le film, comme « des recherches sur internet sur les moyens de tuer » et a donné ces informations mensongères à la presse comme à l’audience.
- les connections automatiques aux bornes relais de téléphonie mobile de Charles-Edouard C. lors de ses déplacements en voiture ont été présentées aux audiences par le commissaire principal Christian K. comme des appels téléphoniques.
- Charles-Edouard C. s’est plaint que les deux prises d’écritures destinées aux analyses graphologiques avaient été truquées par le commissaire principal Christian K. tant par la ruse (source : déclarations de Charles-Edouard C. sur NRJ12) que la violence physique (source : le Parquet à la cour d’Appel de Luxembourg et France2).
- le Parquet de Luxembourg a relevé que le commissaire principal était en congé le 9 mars 2011 et était présent lors de l’arrestation à Versailles de Pascal Kolber et dans le locaux de la police judiciaire, comme le démontrent les actes de procédure mais qu’il sait fait faire un certificat de présence à Luxembourg par un collègue luxembourgeois, alléguant qu’il était au pays sur une autre enquête.
- le commissaire principal Christian K. n’a cessé de parler de prétendus « ils », qui lui parleraient dans sa tête et orienteraient l’enquête pour justifier ses « agissements et postures » grâce à du matériel psychotronique. Il s’est réclamé à ce titre d’une idéologie raciste et justifié son homophobie par un prétendu programme européen bâti pour harceler les homosexuels, allant jusqu’à impliquer la Direction générale de la Police en 2011 dans un complot contre le Luxembourg, son Etat de droit et sa population.
Le juge Prosper K. de la XIIIe chambre criminelle a été mis en retraite d'office. En foi de quoi, je demande à Monsieur le Ministre de la Sécurité intérieure Etienne Schneider et à Monsieur le Ministre de l'Intérieur Daniel Kersch la révocation de la police pour manquement grave à l'honneur et à la profession du commissaire principal Christian K. (et sa mutation depuis l'inspection générale de la police au centre pénitentiaire de Luxembourg comme gardien de prison).
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Ci-dessous, un extrait de la lettre de Pascal Kolber à Monsieur le Ministre Félix BRAZ de la justice.
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Suite au fiasco judiciaire de l’affaire KOLBER (« Le meurtre à la hache de Hassel »), d’aucuns avaient pensé que Monsieur le juge d’instruction directeur Ernest N. aurait la dignité de donner sa démission, dans la mesure où il s’était estimé plus « chevronné » - selon les propos du juge d’instruction Vincent F. - pour mener l’instruction alors qu’il s’était tout autant que son processeur laisser convaincre des pires illogismes et contre-évidences par le commissaire principal Christian K. de la police judiciaire de Hamm et par un officier du service de renseignement qui les avait - selon les déclarations du juge Prosper K. aux journalistes de France2 - « abreuvés de notes blanches » les assurant de ma prétendue culpabilité.
Le commissaire principal Christian K. - avec l’autorisation tacite des juges d’instruction successifs - avait laissé Julien K. pénétrer dans la maison de feu Camille KOLBER, malgré les scellés, lui permettant de se saisir du mobilier puis de désosser le bâtiment au point que tombant en ruine, il fut menacé d’un arrêté communal de péril. Le juge d’instruction directeur Ernest N. d’achever alors l’oeuvre de vacance de son administration en autorisant la destruction de la scène de crime par Julien K., empêchant de la sorte que le scénario retenu par l’accusation relève son caractère d’impossibilité manifeste.
Je passe sur le refus du commissaire principal Christian K. de restituer le corps de Camille KOLBER le 5 novembre 2010, puisque les fonctionnaires de la police et de l’instruction avaient pris la décision de le remettre à Julien K. Je passe également sur la falsification des procès verbaux de mon audition devant le juge Vincent F., telle que relevée par le juge Prosper K. lors des audiences de la XIIIe chambre criminelle et visible sur les documents d’instruction. Une liste non-exhaustive des errances du commissaire principal Christian K. et de magistrats instructeurs F. et N. a été donnée partiellement dans mes deux ouvrages. Je me permets de vous y renvoyer, dans la mesure où tout ceci est désormais connu du public. J’ai dû me censurer en ne relevant pas l’intégralité des faits, afin de ne pas prendre le risque de ne pas être cru tant j’ai été confronté à un véritable complot, les acteurs judiciaires s’étant compromis comme de viles marionnettes du service de manipulation psychotronique de la population.
On doit encore remarquer que le juge d’instruction directeur Ernest N. semble faire l’unanimité du Barreau contre lui, si l’on en croit les procédures judiciaires en cours, tant pour ses méthodes que sa personnalité et son peu de cas de l’Etat de droit et des libertés individuelles. Le magistrat est également la risée des médias et des opinions publiques à l’étranger pour sa gestion du scandale CLEARSTREAM, tout comme plus modestement de l’affaire KOLBER. Il est même qualifié de « pion » (« argentur ») laissé par l’administration JUNCKER dans le but de paralyser la justice après la sanction des urnes contre le parti populo-atlantiste CSV et protéger les bénéficiaires des faveurs de l’ancien gouvernement de poursuites.
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En foi de quoi, je vous demande publiquement de libérer le juge d’instruction Ernest N. de ses fonctions, dans la mesure où il reste sourd aux demandes de ma partie au civil de l’informer de l’état d’avancement de l’instruction et qu’il fait obstruction à l’administration de la justice, par son entêtement dans l’erreur comme d’autres raisons que l’on imagine plus politiques et secrètes. On imagine mal que le vraisemblable meurtrier de Camille KOLBER, parce qu’il est luxembourgeois, qu’il a guidé les enquêteurs tant dés les laudes que tout au long de l’instruction, voire qu’il est protégé par un obscur criminel d’un service de renseignement, ne soit pas inquiété et bénéficie de fait d’une impunité totale.
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