Le site officiel de l'ouvrage de Pascal KOLBER consacré à l'affaire Camille KOLBER " />

L'accusateur

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Le rôle de Julien K., le frère de Camille Kolber. 

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Qui a provoqué la mort de Camille Kolber ? Qui a tué Camille Kolber ? Qui a fabriqué une scène de crime autour de la victime, accusant Pascal Kolber ? Qui a accusé Pascal Kolber dés les laudes de l'enquête et a été cru sans apporter aucune preuve ? Qui était absent lors des audiences des juridictions criminelles ? Qui a refusé d'y témoigner, mais a "chargé" Pascal Kolber auprès de la police judiciaire ? L'étau criminologique se resserre autour de Julien K., le frère de la victime... Le principal accusateur devient le seul accusé ! Eléments de compréhension et d'analyse.

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La famille Kolber ou l'histoire d'une haine autour de la question de l'argent et des biens.

 

Après la perte du bail de son restaurant à Rémich en 2008, Julien K. - le frère de Camille - s’est retrouvé avec des revenus très modestes, en sus d’un conflit avec son fils Marc. Il semble que cette cette situation ait accéléré le processus qui devait mener à la mort de Camille et au fiasco judiciaire de 2014. 

 

Elle était la résultante de plusieurs causes : 

- la première est que Julien K. avait des années auparavant pris sa préretraite d’un emploi d’expéditionnaire au journal Luxemburger Wort, qui ne lui garantissait qu’une faible pension (à peine supérieure à 1.200,00 euros par mois), pour travailler en toute illégalité comme cuisinier dans le bistrot de sa femme au Glacis ; 

- la seconde est une mauvaise gestion de son petit patrimoine, qui était caractérisée par la fraude socio-fiscale certes mais aussi un train de vie (véhicules 4x4 prémium allemands renouvelés tous les deux ans, voyages à longue distance, grands restaurants, etc) sans commune mesure avec ses revenus officiels ; 

- une arnaque de son fils et de sa belle-fille, qui l’avait dépouillé de la moitié de la valeur de terrains à bâtir à Hassel, vendus tout de même dix fois le prix qu’il se l’était fait céder par Camille dés les lendemains de son accident de la route de 1998, alors que mon père adoptif aurait dû être à cette époque placé sous tutelle (vu son état post-traumatique) et qu’il faisait face à la rapacité de sa banque, comme de sa propre famille (qui s’était déjà vu hériter). 

 

En effet, les frères et soeur K., alors que Camille Kolber était dans le coma, s’étaient partagé sans attendre les biens du futur défunt en cinq lots. Quelle désillusion lorsqu’il se rétablit, un de ses frères ayant été jusqu’à dire qu’il aurait dû mettre le pied sur son appareil respiratoire pour le tuer ! Quant à Julien K., il ne s’intéressa à Camille K. que dans la mesure où il pouvait lui mettre la pression pour obtenir de l’argent, en l’espèce deux terrains à bâtir dans le centre de Hassel qu’il empocha pour à peine 75.000,00 euros. Une bagatelle… qui lui permit de faire une plus value énorme dix ans après, aubaine qu’il dut partager avec son fils Marc au gré d’un des imbroglio juridique dont la famille K. est coutumière, aucun à part Camille n’ayant dépassé le niveau scolaire le plus élémentaire. 

 

Comme on le remarque dans les procès verbaux d’audition des frères et soeur K. par la police judiciaire, le niveau d’expression est très faible, ce qui rend la lecture des documents assez pittoresque et donc amusante hors contexte. Hélas, ils sont non seulement la preuve que l’enterrement de Camille était une comédie destinée au public et à la justice, et même une ultime humiliation pour mon père adoptif où Pierre Dillenburg a été utilisé comme un pion par Julien K., mais aussi la preuve que la famille K. haïssait Camille d’une rage sourde. Le bon coeur de l'ancien greffier en chef de la chambre des députés luxembourgeoise et premier amant de Camille Kolber a été trahi. Pauvre Pierre, un homme si sympathique et si monarchiste, traité comme l'andouille de service par le mari d'une tenancière de bistrot marxiste, qui plus est violemment homophobe ! Nous nous retrouvons ici en tant que victimes. 

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Pierre D. a t-il utilisé comme "pion" par le possible meurtrier ? Source : LuxPrivat.

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J’ai donné dans mon ouvrage « Tortures psychotroniques au goulag de Schrassig » (éditions 7ECRIT), une tentative de traduction des déclarations pathétiques de la famille Kolber. On nage en plein pathos agricole luxembourgeois, au coeur de cette génération d’imbéciles-utiles qui est passée de la cour de la ferme à l’usine, puis à la fonction publique. L’électorat du trio infernal Santer-Juncker-Frieden est bien là, dans son opportunisme et son ignorance des tenants et des aboutissants de la politique ignominieuse dont il est l’illusoire caution démocratique. C'est lui qui paiera la dette ! 

 

Un frère aimant, cherchant à (se re)construire. Vraiment ? 

 

Julien K. après la perte de son restaurant et des déboires financiers, a mené une double stratégie : 

- séduire son frère et m'évincer en jouant sur tous les registres du doute et de la jalousie pour semer la pagaille dans ma relation avec Camille, tout en me faisant une réputation épouvantable auprès de quiconque voulait croire à ses balivernes (des voisins aux magistrats, en passant par le personnel domestique de Camille) ;

- transformer son frère Camille Kolber en épave, physique, psychique et financière, pour plus aisément l’anéantir et escroquer une succession, réitérant les circonstances de la mort de son propre père où son influence morbide a été avouée devant caméra. 

 

En effet, le futur héritier Julien K. qui s'est fait passer avec succès pour un frère aimant auprès du parquet de Luxembourg (qui a couvert tous ses actes - depuis 2008 et malgré mes plaintes pour abus de faiblesse et diffamation - et je devrais dire crimes), est parvenu en moins de dix huit mois à :

- faire cesser la prise de médicaments de Camille (qui souffrait d’épilepsie post-traumatique) ;

- à le faire boire comme un trou (avec la violence et la nervosité liées à cette dépendance) ;

- à obtenir qu’il stoppe sa thérapie cognitive chez un psychiatre renommé de la place, ordonnée par un expert en neurologie de Nancy et son médecin du CHL, avec un argumentaire classique que les diplômés en psychologie sont les êtres plus cinglés et l’accusation que je tentais ainsi de mettre Camille sous tutelle pour le dépouiller (dans la mesure où le psychiatre était un proche de mon amie Maggy L.-B.) ;

- à lui faire ajourner tous les plans de construction, qui lui auraient permis d’immuniser des taxations sur les plus-values pour plus d’un million d’euros ;

- à générer un état de paranoïa hallucinatoire permanent chez Camille, au point que ce dernier vivait des états de terreur nocturne où il m’appelait au téléphone et me suppliait de venir le retrouver. Il m’est arrivé de venir depuis mon appartement de Metz à Hassel à des 3:45 du matin, pour retourner à l’université dans cette ville pour 8:00. !

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Plus tard, c'est Jérémy B. que Julien K. appelait du sobriquet peu flatteur de gorille, qui devint l'abcès de fixation de la paranoïa de Camille Kolber, alimentée par son frère Julien. L'enquête a montré que Jérémy B. et Camille Kolber discutaient de manière réitérative et longue au téléphone, Jérémy B. essayant de calmer Camille. La durée des discussions est incompatible avec l'accusation de menaces : on ne menace pas dans un dialogue téléphonique de 40 minutes. Au contraire, on tente d'aider, de relativiser et de calmer le jeu. La logique élémentaire n'a pas été le propre de la police - on s'en doute vu l'absence de niveau intellectuel élémentaire de l'enquêteur principal - ni de l'accusation en général, magistrats compris. 

 

Fin 2009, Camille était devenu une pauvre épave à la dérive, de telle sorte qu’il m’était devenu impossible de continuer à habiter près de lui, cohabiter avec lui étant exclu de nos accords depuis le début. Nous partagions en effet deux habitations mitoyennes, avec une indépendance relative, tant sexuelle qu’affective. Camille était amoureux, je me contentais de l’aimer sagement et de veiller sur lui.

 

La clef de cette transformation par Julien K. de son frère Camille Kolber en épave physique, psychique et financière dans un délai aussi rapide m’avait surpris. J’en ai eu l’explication que bien plus tard, en 2016, en relisant dans le détail le dossier d’instruction en allemand. Deux éléments ont attiré mon attention et au final emporté ma conviction qu’il s’agissait d’une minutieuse et patiente stratégie de Julien K., parfaitement réussie et menée avec détermination par l'abus de faiblesse, la diffamation et l'empoisonnement, pour conduire à un meurtre et une instrumentalisation du système répressif à des fins d'enrichissement. 

 

Un contrat de meurtre et de la cocaïne !

 

Alors qu'il est incarcéré pour viol sur mineure, un nègre demandeur d'asile à Luxembourg, dénommé Deritto I.-B., indique en 2013 à la police judiciaire qu’il a rencontré Julien K. - qu’il connaissait très bien (on se sait comment et pourquoi) - devant le domicile de Camille Kolber le 1er (sic !) ou le 2 novembre 2010 au matin, alors qu’il était à Hassel pour une livraison de drogues (cocaïne et cannabis) ! Au terme de son audition par le commissaire principal Christian K. et ses collègues à la police judiciaire de Hamm - et sans être inquiété ni poursuivi pour cet aveu - il a ensuite prétendu que Jérémy B. lui aurait commandé en septembre 2010 de « tuer » Camille K., aux termes d’un contrat de meurtre de 1.000,00 euros. Le témoignage de Deritto I.-B. est contredit par la quasi-totalité des détails qu’il rapporte pour donner du crédit à son accusation, que l’on transpose les faits de septembre 2010 - comme il l’a d’abord prétendu - à septembre 2009 puis à avril 2010, comme l’a opéré le commissaire principal Christian K. pour servir l'accusation d'ambition criminelle ancienne et continue, qu'il me prêtait indument. 

 

On se demande d’ailleurs si Deritto I.-B. ne s’est pas effectivement vu offrir un contrat de meurtre : mais non pas par Jérémy B. mais par Julien K. ! Il se dit être « proche » de ce Julien K. et assure livrer de la drogue au restaurant de son fils Marc à Contern (sources : PV d'audition, déclarations aux audiences de la XIIIe chambre criminelle et témoignages de détenus). Le policier l’aurait t-il convaincu de changer le nom du « commanditaire », en échange d’un abandon des poursuites dans une autre affaire, comme cela a été rapporté à la XIIIe chambre criminelle puis la cour d’appel de Luxembourg ? Le doute est légitime...  

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L’avocat Marc Knaff a en effet déposé à la barre de la XIIIe chambre criminelle en décembre 2013 qu’il avait assisté à une conversation compromettante entre Deritto I.-B., la substitut Martine W. et le commissaire principal Christian K. dans les couloirs du palais de justice et en marge des audiences de la première juridiction, avant que Deritto I. B. ne témoigne sous serment du fameux « contrat » ! Quel scandale ! La substitut Martine W. a reconnu la conversation et l’accord, mais en précisant qu’il « s’agissait d’une autre affaire ». Le juge Prosper K. n’a pas eu besoin du serment d’un « tôlard », qui a volé, violé et tenté de tuer si l’on en croit la longue liste de ses condamnations. Le magistrat a cru et accordé tout crédit aux accusations de Deritto I.-B. mais sans relever les drôles de fréquentations de Julien K. Tout était pourtant dit entre les lignes, il suffisait de mettre les pièces du puzzle en bon ordre ! 

 

Un autre élément est encore confondant et l’explique. En page 2 de son rapport du 18 novembre 2010, la médecin légiste Daniela Bellmann de la Rechtsmedizin am Klinikum Saarbrücken (REMAKS) rapporte que Camille avait consommé de la cocaïne, comme l’expertise toxicologique le prouve. La légiste l’explique de manière péremptoire par le fait que « son fils adoptif le droguait », et non une consommation personnelle, consommation personnelle qui d’ailleurs me semble à moi-même hors de propos. Cette fausse information n’a pas pu être rapportée que par le commissaire principal Christian K., qui la tenait évidemment de Julien K. Je n’ai jamais drogué Camille et on voit mal comment j’aurais pu le faire à distance, mais cette accusation de Julien K. et ses relations avec le dealer Derrito I.-B. sonnent au contraire comme un aveu total. Je passe sur le fait qu'un médecin légiste ne se limite pas à décrire médicalement la mort et rapporter les résultats des analyses post-mortem, mais rapporte des explications causales... (sic!). On note ici encore combien a été génératrice d'erreurs graves de déontologie  élémentaire l'influence sur les experts du commissaire principal Christian K. Le policier a littéralement intoxiqué les experts légiste et graphologue, puis les magistrats et le public.

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Au final de cette dérive de l'institution, une question grave se pose : Julien K. a t-il drogué Camille depuis 2008, se fournissant notamment chez Derrito I.-B. ? On peut légitimement le penser, dans la mesure où nous avons une analyse toxicologique légale et une accusation antérieure à son résultat. Comment Julien K. savait t-il que l'analyse toxicologique serait positive dés les 1e t et 2 novembre 2010 ? Pourquoi n'a t-il pas alors protégé son frère et avertit la police s'il savait, se rendant coupable de complicité de délit d'empoisonnement ? Ne cherche t-il pas plutôt à s'innocenter d'un fait qu'il a commis lui-même... en imputant d'avance à Pascal Kolber un état toxicologique que les policiers ne découvriront que plus tard ? Tout y est ! Nous avons un en réalité un aveu, qui a échappé à l'éminent juge d'instruction directeur Ernest N.

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J’en ai la conviction, d’autant que cette solution explique en vérité tout : le changement de comportement de Camille Kolber dés 2008 et les conditions étranges de sa mort en 2010. A force de m’accuser, le frère auto-proclamé éploré de Rémich a finalement tout avoué, en faisant de Pascal Kolber son « moi de substitution ». Un minimum de psychologie aurait permis au « meilleur policier de Luxembourg », qui somme toute est un dangereux incompétent, et des magistrats soi-disant « chevronnés », qui tiennent plutôt de nigauds, de ne pas se faire ridiculiser par le mari d’une tenancière de bistrot crasseux, digne fils d’un paysan alcoolique. 

 

L'opéra des mafieux.

 

Bien entendu, les magistrats du parquet et l’instruction ont tout gobé. Pourquoi se gêner quand :

- on a un ami au service secret (qui savonne la planche de Pascal Kolber) ;

- à l’enquête un flic ripoux avec des casseroles (le commissaire Christian K.) et qui est prêt à tout par peur panique d’être lâché par cet agent secret et se retrouver en prison ;

- et des magistrats sous suggestion, prêts à gober n’importe quelle imbécilité pourvu qu’elle soit dite par un luxembourgeois dans la « langue de pays, … celle des paysans », avais-je fait remarquer à un juge Prosper K. ulcéré de cette vérité. 

 

Le luxembourgeois est un patois de serviles de ferme, incultes et devenus sans maître, incapables de maîtriser le langue des occupants successifs allemands, autrichiens, français et hollandais, passés sous la houlette de la noblesse marchande des promesses fallacieuses de « nouvel ordre démocratique » à l’usine, puis à la fonction publique, où ils vont tous finir par se faire tuer. Faire de cette compilation de barbarismes une langue officielle et même « d’intégration » en dit long sur la stupidité des nationalistes luxembourgeois. 

 

On nage en plein pathos local, avec en point de fuite la sanction du pays dans une guerre des atlantistes contre le monde chiite et orthodoxe, voulue par la mafia khazare dans son délirant programme de « gouvernance mondiale ». En attendant, Luxembourg est devenu la sépulture de la logique élémentaire, en particulier à l’instruction et au parquet, où on y bat des records de complaisance au « nouvel ordre ». La collaboration et ses crimes se paieront au bout d’une corde pour les plus impliqués et corrompus, l’histoire étant en train de la nouer dans une mécanique effroyable, rappelant l’avant, le pendant et l’après seconde guerre mondiale. 

 

En attendant, par la voix de son avocat Me Eric S., Julien K. continue à « savonner ma planche » auprès des médias. Pourquoi stopper une stratégie ayant porté autant ses fruits ? Le frère accusateur jouit de la fortune de Camille Kolber, après avoir faire raser la maison de mon infortuné père adoptif, avec la complicité du juge d’instruction directeur Ernest N. 

 

Le plus drolatique dans cette tragédie judiciaire est que l’avoué de Julien K. - fervent sectateur du « nouvel ordre » au service d’une puissance étrangère hostile à notre pays - ne cesse de rapporter que son client a besoin de se reconstruire… client qui a fait raser la maison de Camille (sic!). Jusqu’où ira Luxembourg dans sa déchéance, avec ses flics ripoux, ses juges iniques, ses avocats marrons... descendants de serfs en fuite et de valets de ferme, rivalisant d’alcoolisme, de consanguinité et d’actes criminels ? Des boches encore plus débiles que ceux d'Hitler ! Des imbéciles-utiles utilisés par la mafia khazare pour détruire les Etats-nations hérités de la Renaissance, le Jean-Claude en "leader maximo". Le grand-duché est devenu la tombe de toute intellectualité... quel dommage, lui qui avait donné trois empereurs au saint-Empire et longtemps disposé d'une véritable élite intellectuelle catholique et sémite. 

 

A l’aide Moscou, Téhéran, Alger et le monde libre ! Luxembourg a besoin d’être purgé, comme Berlin en 1945… et il le sera, mettant fin au « IVe reich des riches », dont les luxembourgeois ont été la cheville ouvrière. La trahison est décidément dans l’atavisme paysan local. Luxembourg a trahi les peuples d’Europe, comme Julien K. a trahi son frère Camille Kolber ! Un minimum d’intelligence permet de donner une solution à l’énigme de la déchéance de nos institutions nationales et leur mise à mort, comme à celles de Camille Kolber.

 

Luxembourg va payer ! Ce n’est qu’une question de temps… et le ball-trap de boches va bientôt reprendre, de Bruxelles à Strasbourg, en passant par Luxembourg et évidemment Francfort. 

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Pourquoi Julien K. n'est t-il toujours pas inculpé ?

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L'immobilisme actuel de l'instruction - malgré mes demandes réitératives d'inculpation de Julien K. adressées au juge d'instruction Ernest N. - s'explique de la manière suivante.

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En me laissant rendre publics tous les éléments de culpabilité du suspect numéro 1, pourtant bien présents et abondants au dossier pénal, le juge d'instruction Ernest N. n'assume aucune responsabilité :

- le magistrat n'a pas à se dédire de sa première instruction, qui est pourtant un fiasco juridique et humain et n'a toujours pas permis l'élucidation juridictionnelle de l'affaire ;

- le juge directeur me laisse poser publiquement la culpabilité de Julien K. et la prouver avec les éléments du dossier, sans risquer un nouvel échec en juridiction (les avocats de Julien K. vont s'en donner à coeur-joie contre l'instruction) comme celui qu'il a essuyé devant la cour d'appel en mars 2015 ;

- avec à la clef le prévisible suicide de Julien K., dés lors où tout sera rendu public, Ernest N. me laisse la responsabilité de cette mort tragique et entretient le doute sur la culpabilité du suspect. Julien K. était t-il vraiment coupable ou a t-il cédé à la pression médiatique de Pascal Kolber ? L'honneur du juge d'instruction Ernest N. est ainsi sauf : il reste sur son instruction première et laisse planer le doute sur la raison du suicide de Julien K.

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Les justiciables ont face à eux un juge d'instruction directeur dont les méthodes sont décriées par certains membres du Barreau de Luxembourg. En effet, des avocats réputés de la place, ulcérés de la violence des perquisitions et des violations des droits de la défense, n'ont pas hésité à le traduire le magistrat Ernest N. en justice, tant au pénal que devant la cour de cassation pour délit de suspicion légitime (http://paperjam.lu/news/le-juge-nilles-echappe-a-une-requete-en-suspicion).

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Les méthodes prêtées au juge d'instruction directeur Ernest N., ainsi que des policiers et des magistrats sous ses ordres, ont déjà provoqué le suicide de Marina Rama. Son supérieur hiérarchique ne se décide toujours pas à le déplacer -  malgré mon interpellation publique - pour rendre justice à Camille Kolber et empêcher une potentielle nouvelle mort par suicide (celle de Julien K.), ni élucider un affaire pourtant limpide du point de vue de la science criminologique et de la médecine légale.

 

Conclusion.

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L’affaire Camille Kolber, celle de « Le meutre à la hache de Hassel / Axt-Mörder von Hassel » devenue maintenant « la mascarade de la Toussaint / Die Verschwörung des Festes Allerheiligen... », est décemment révélatrice d’un mal luxembourgeois ! Tout y est : le mensonge, la trahison, la corruption, la pourriture, la déchéance, l’argent, la drogue, le sexe, la destruction, le mépris pour la vie humaine et le meurtre ! La culture télévisuelle et cinématographique des Etats-Unis est décidément passée par là… et a fait des descendants de nos anciens valets de ferme des monstres au service des satanistes khazares.

 

Comment croire que les mafieux oseront s'en prendre à l'un des leurs et d'entre eux, eux qui ne valent pas plus ? Ils le laisseront se suicider ou dans l'impunité totale. Julien K. doit bien rire de son tour de force, celui qui a consisté à abuser les fonctionnaires de l'Etat toute une vie et dans tous les domaines, avocats en prime. La revanche du minable sur les diplômés... au simple culot et sur un air nationaliste. Elle n'est pas belle la vie ? De leur côté, policiers et juges attendent en embuscade son suicide, ce qui leur éviterait une nouvelle humiliation publique en justice. La méthode a été appliquée dans l'affaire Bommeleeër avec un certain succès. Pourquoi se gêner ? So ist Luxemburg ! 

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"A Ópera Dos Malandres / L'opéra des mafieux" (Carnaval Rio de Janeiro 2016, Ecole de Salgueiro).

 

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Yo ! Yo ! D'Robby, d'John, d'Steve, d'Svetalan, d'Teddy, d'Dylan a d'Mike ... ein schmutziges Band Nachkommen unserer ehemaligen Knechten : alle Lügner, Diebe und Mörder. 

 

 

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