Les expertises
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Pourquoi le juge d'instruction Ernest N. ne veut t-il pas poursuivre d'instruction et inculper le seul coupable identifié scientifiquement ? Parce qu'il lui a dictée son instruction pendant 3 ans et on lui a fait prétendre en public les pires invraisemblances et illogismes ? Parce qu'un agent du service de police politique et des moeurs l'a abreuvé de notes blanches soi-disant accablantes, comme l'a indiqué le juge Prosper K. ? Parce qu'il est un incompétent, ce que je ne pense pas ? Pourquoi ce déshonneur ? Pourquoi ne pas démissionner ? Il y a t-il un réseau de noyautage des affaires au sein des institutions luxembourgeoises : le fameux "réseau Z." ? D'autres affaires médiatiques et quelques éléments de graphologie et de police scientifique éclairent la grave problématique de la posture de l'instruction...
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1. Un expertise graphologique troublante et troublée.
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Regardez la faute d'orthographe "f" et "ph" dans la lettre écrite par Julien K. à la dernière annexe de "Tortures psychotroniques au goulag de Schrassig".
C'est quasi-identique !
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La prise d'écriture de Julien K., le frère de la victime,
peut-être même maquillée par le commissaire principal Christian K.
(d'où la demande d'expertise supplémentaire refusée par les juges d'instruction)...
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Le livre profané par le "metteur en scène".
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Les expertises graphologiques de Charles-Edouard Comes ont t-elles donc été truquées par la police judiciaire (selon la victime et comme l'a reconnu la représentante du parquet en appel), car celles des frères K. étaient sues comme accablantes et ont même été falsifiées pour le dissimuler par le policier Christian K. en personne (comme le montre le document ci-dessus) ?
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2. Les empreintes et l'ADN de la hache mortifère n'ont pas pu disparaître dans l'eau de la baignoire.
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Selon Me Glock, avocate pénaliste, et l'expert français : il est impossible que la hache n'ait aucune trace d'ADN et d'empreinte dactyloscopique. Ceci est vrai même pour un corps passé deux ans sous l'eau. L'eau n'efface rien car il s'agit de graisses. La police a t-elle voulu faire croire qu'il n'y avait pas d'ADN ni d'empreinte car celles retrouvées n'étaient évidemment ni celles de Pascal Kolber, ni celles de Charles-Edouard Comes... mais celles du meurtrier ! Il semble même que la hache acheté le vendredi avant la Toussaint n'ait pas été un achat de Camille Kolber mais d'un de ses frères, revêtu de sa jacquette.
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Laut Frau Glock, Strafverteidiger, und der Französisch Experte : Es ist unmöglich dass die Axt keine Spuren von DNA hat. Dies gilt auch für einen Körper vergangenen zwei Jahren unter Wasser. Das Wasser nicht klar DNA. Die Polizei wollte glauben, dass es keine DNA als dass weder die von Pascal Kolber gefunden, noch die von Charles-Edouard kommt ... aber der Mörder !
Qui est le meurtrier que protège le commissaire principal Christian K. ? Wer ist der Mörder, die den Oberkommissar Christian K. schützt ?
Le commissaire principal Christian K. a expliqué aux audiences de la XIIIe chambre criminelle en décembre 2013 que de l'ADN de Robert K. serait remonté "par capillarité" d'un "mouchoir chargé de son sperme", présent dans la poche du pantalon noir de Camille Kolber sous la hache dans la baignoire... "au travers des vêtements noirs du défunt" vers l'objet mortel ! Et pourtant : "pas d'ADN du tout sur la hache" selon le commissaire principal Christian K., car l'eau l'aurait "dissoute" ! Incroyable, non-scientifique et contradictoire ! Des histoires à dormir debout pour le public luxembourgeois, réputé soumis et sans esprit critique... juges et journalistes compris !
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Le scandale de la police dans l'affaire du poseur de bombe est le même ! Mensonge, manipulation, disparition des preuves : la police est un panier avec des pommes pourries ! Die Polizei Skandal im Fall des Bombers ist das gleiche! Lügen, Manipulation, das Verschwinden von Beweisen : Polizei ist ein Korb mit faulen Äpfeln !
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Pourquoi le commissaire principal Christian K. de la police judiciaire de Hamm a t-il fait croire qu'il n'y avait aucun ADN ni aucune empreinte dactyloscopique sur la hache mortelle ? Qui sortait t-il ainsi des "radars" de l'instruction ? Pourquoi les deux juges d'instruction ont t-ils laissé passer des manipulations aussi grossières ? Manque de professionnalisme élémentaire ? Réseau politique au sein des institutions ?
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Le mystère de l'ADN ne s'arrête pas là ! La police a l'obligation d'utiliser des liasses de matériel de prise d'empreintes et d'ADN numérotées. Or, dans le dossier, des liasses multiples aux numéros pris aléatoirement ont été utilisées. Cette pratique a un avantage : permettre de faire disparaître les prises d'empreintes dactyloscopiques et d'ADN géantes pour l'accusation. Il semble bien que cela soi le cas, car comme le rappelait Me Liliane Glock devant les caméras de France2 ("Faites enter l'accusé : le mystère de Hassel", côtes 1:19:00 et 1:25:00) : "Il est inconcevable que sur une telle scène de crime on n'est retrouvé que l'ADN de la victime et de Pascal Kolber... C'est impossible". Mensonge, falsification, vol et meurtre, où s'arrêtera le flic ripoux, encore des effectifs de la police où il aurait donc mandat de paralyser les enquêtes disciplinaires ?
Le commissaire principal Christian K. a t-il détruit des preuves pour innocenter le ou les auteurs, allant jusqu'à générer la destruction de la maison ? Comment expliquer cette suite de fautes professionnelles graves, couvertes par le juge d'instruction directeur Ernest N. avec une obéissance servile et totale dans la violation du droit, l'obstruction à la justice et les atteintes à la déontologie ? Qui a dit que le commissaire principal Christian K. et le juge d'instruction directeur Ernest N. étaient des "agenturs" rémunérés comme agents par le service de renseignement, afin d'orienter les investigations de la police et le cours de la justice ? Le "réseau Z." gangrène t-il à ce point nos institutions...
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Les fonctionnaires en question ont t-ils commis autant de gravisses fautes professionnels car ils avaient la certitude d'être protégés des poursuites judiciaires ou parce qu'ils étaient soumis à un chantage, comme l'affirmait le policier le 5 novembre 2010 dans les locaux mêmes de la PJ de Hamm ("j'ai des casseroles et si je ne te fais pas tomber, ils s'en prendront à moi" - enregistrement pirate par Pascal Kolber de son audition où Christian K. indique trahir son pays au bénéfice d'un Etat génocidaire et terroriste du moyen-orient) ? L'affaire du Bommeleeër a montré tout ce que l'on devait penser du magistrat en question et des pratiques de certains policiers, vendus comme un des services de renseignement à une puissance étrangère hostile à Luxembourg. Traitrise, mensonge, parjure et forfaiture... des hommes de paille qui sont du matériel obsolète bientôt promis à la destruction.
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3. Un scénario policier rocambolesque et matériellement impossible repris par une instruction démissionnaire.
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Interview de Me Liliane Glock dans "Crimes à Luxembourg"
de la chaine de télévision NRJ12 (France) (minutes 45, 57 et 60) :
"le scénario de la police (et de l'instruction) : c'est absurde !".
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Le dossier le montre et le prouve :
- Comment Charles-Edouard C. aurait t-il pu "exécuter un contrat" dans une maison qu'il ne connaissait pas, avec une hache trouvée dans un garage fermé à clef, tuer la pauvre victime Camille K., simuler un cambriolage et un faux rituel satanique accusant Pascal Kolber (et pourquoi ?), recharger les cheminées et repartir en Allemagne à 35 kilomètres... le tout en 5 minutes et sans laisser ni ADN, ni empreinte, ni trace ? Voilà ce que le commissaire principal Christian K. a pu affirmer pendant quatre ans et a été gobé par une série de magistrats soit disant "chevronnés", mais surtout homophobes, xénophobes, antisémites et vendus au programme atlantiste de "nouvel ordre" par l'ingénierie de l'hypnose sociale mécanisée.
- Comment de l'eau aurait t-elle pu effacer de l'ADN et des empreintes dactyloscopiques (water-roof) ? Absurde !
- Comment le juge d'instruction directeur Ernest N., qui se prétendait "plus chevronné" que le juge d'instruction Vincent F. (le premier magistrat sur l'enquête) en 2011 pour mener à bien l'instruction, a t-il pu vendre à la chambre du conseil (d'accusation), au parquet puis à la chambre criminelle une telle histoire à dormir debout, élaborée par un policier délirant, enfreignant toutes les règles élémentaires de déontologie ?
- Comment a t-il pu refuser les confrontations des trois accusés et de Julien K., demandées par les avocats de la défense ? Pourquoi a t-il autorisé Julien K. à pénétrer dans la maison de Camille K., la désosser et la raser ensuite ?
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Qui va croire qu'un magistrat puisse commettre autant de fautes graves de discernement élémentaire et demeurer encore en sa fonction ? C'est déjà ce que ce demandaient les victimes de la faillite de la filiale Landbanski puis du scandale du banquier israélien Madoff à Luxembourg. Ils dénonçaient "une méconnaissance du droit pénal élémentaire" par le juge d'instruction directeur Ernest N. (source + source). Encore un effet du "réseau Z." au sein de nos institutions, qui accorde immunité ou pardon judiciaires ?
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4. Des fautes déontologiques inexcusables du commissaire principal Christian K. de la police judiciaire et de l'expert graphologue allemand Manfred P.
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- La mention "pedofile" attribuée par la ruse à Charles-Edouard C. en falsifiant sa prise d'écriture : ce serait en réalité les frères K. à 90%, voire est-ce eux à 99,9% en cas d'expertise complémentaire demandée par l'expert ? Le juge d'instruction Vincent F. n'a pas voulu savoir. Le juge d'instruction Ernest N. non plus. Etrange ? Non ! Si l'ambition est de protéger le meurtrier et me sortir du circuit trois ou quatre ans, pendant le temps du procès du Bommeleeër, cela a un sens.
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Nom du suspect |
Pourcentage de conformité à la mention manuscrite "pedofile" |
Julien K. |
Demande d'expertise complémentaire de conformité totale |
Norbert K. |
90 % |
Robert K. |
70 % |
Charles-Edouard Comes |
Deux expertises invalidées pour trucage dans la prise d'écriture |
- Le commissaire principal avait déjà essayé dés le 5 novembre 2010 de faire croire au juge d'instruction Vincent Franck - en réalisant lui-même une expertise graphologique de sa création - que Pascal Kolber serait l'auteur de la mention manuscrite "pedofile" pour "signer son crime" ou "s'auto-accuser". C'était un peu gros et butait sur mon alibi. Que faire d'une fausse accusation de cette sorte ? Il fallait plus gros pour occuper et abuser le public avec un vaudeville homophobe. On allait l'avoir...
Toute même assez ridicule et grotesque : le commissaire principal Christian K. remplaçant le graphologue ! L'exécuteur d'un "contrat de meurtre" désignant son commanditaire et donnant la preuve de son écriture ? Qui croirait cela ? Au fou ! So ist Luxembourg !
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Voir le document avec en-tête de la police judiciaire ci-dessous dans la dernière annexe de "Tortures psychotroniques au goulag de Schrassig" (ci-dessous). Le policier ne recule devant rien ! Le juge d'instruction croit tout sans se poser de question... une instruction à la dérive !
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- Autre preuve de cette ambition de fabriquer de la culpabilité ? L’expert graphologue était au bistrot avec le commissaire Christian K. avant de témoigner aux audiences en novembre 2013 ! Le témoignage et la photo de Me Marc Knaff - avocat à la cour de Luxembourg - accusent la complicité : quel scandale ! L’expert graphologue Manfred P. et le policier Christian K sont au bistrot ensemble avant de témoigner à la barre de la XIIIe chambre criminelle !
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Cela ne l'a pas empêché de prêter main-forte au commissaire principal Christian K. dans l'émission "DNA" de RTL Luxembourg, et aux deux de se présenter en commun comme un duo de grands professionnels. En réalité, la contre-enquête a montré qu'elles étaient leurs pratiques...
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http://tele.rtl.lu/emissiounen/dna/504679.html
Le duo de "professionnels" en stars du prime-time sur RTL Luxembourg : une émission "à charge" dirigée contre Pascal Kolber, truffée de mensonges éhontés, de vantardises policières et écrite pour et par le commissaire principal Christian K. et l'expert graphologue allemand Manfred P. pour se faire valoir à bon compte (à savourer avec le recul - notamment les scènes de reconstitution de faits jamais produits, inventés par le policier et reproduits par l'équipe de DNA - RTL Luxembourg).
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DNA RTL TV Luxembourg : cliquez sur le lien pour voir l'émission.
http://tele.rtl.lu/emissiounen/dna/504679.html
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Beide Experten spielten mit Richter, Journalisten und der Öffentlichkeit ... So ist Luxemburg !
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En réalité, les deux étaient compères et oeuvraient de concert pour tromper les juges et le public ! Peut t-on encore croire RTL Luxembourg ? Peut t-on encore penser que le même juge d'instruction directeur Ernest N., ridiculisé par ses "experts", va élucider l'affaire, avec les mêmes ? Raus !!!
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Le commissaire et le graphologue : les "experts ami-ami"... ?