Le site officiel de l'ouvrage de Pascal KOLBER consacré à l'affaire Camille KOLBER " />

La chronologie

 

Date

Heure

Fait (source)

30/10/2010

21:20

 

Mort scientifique de Camille Kolber (voir le tableau de médecine légale ici), peut être par overdose de cocaïne.

 

31/10/2010

19 h 30

Prétendu dîner de Camille Kolber avec Robert K. (version de Robert K.).

22 h 00

Prétendu départ de Robby K. (version de Robert K.) du domicile de Camille Kolber avec sa Volkswagen Polo / Golf sombre.

22 h 30

Grand véhicule noir de type BMW, Alfa Romeo, Volvo ou Mercedes devant le garage (version plusieurs voisins de Camille Kolber). Julien K. possédait une Mercedes GLK noire au moment des faits. 

01/11/2010

01:25 à
11 h 00

 

Le décès officiel de Camille Kolber est estimé entre 3:00 et 11:00. Charles Edouard C. habite en Allemagne à 35 km de chez Camille Kolber. Le parcours prend environ 20 minutes au plus vite et 40 mn au moins pressé. Il n'apparait sur aucune vidéo de contrôle routier, ce qui l'obligerait à passer par la campagne (soit le trajet long). Charles-Edouard C. est sur internet jusqu'à 01:25 et se connecte de nouveau vers 3:25. Son compagnon Péric M. certifie qu'il était dans son lit cette nuit là et précise que son véhicule ne pouvait sortir, celui du premier étant garé derrière, ni sans que celui-ci ne l'entende. Plusieurs témoins affirment que Charles-Edouard C. est superstitieux et ne sort jamais la nuit d'halloween. L'accusé a un alibi et aucun mobile, aucun élément d'un contrat ne permettant d'étayer cette thèse (somme trouvée chez lui dérisoire, arme du supposé crime, nature accusatoire du rituel dirigé caricaturalement vers Pascal Kolber, absence d'ADN et d'empreintes, rôle de Julien K. dans l'enquête, expertise graphologique de Charles-Edouard C. truquée par le commissaire principal Christian K. mais accablante à l'encontre de Julien et Norbert K. - 90% de similitude !), d'autant que pour commettre le crime et exécuter le rituel puis rentrer chez lui, Charles-Edouard C. aurait eu au maximum moins de cinq minutes (voir l'interview de Me Liliane Glock par Jean-Marc Morandini dans l'émission "Crimes à Luxembourg" de NRJ12). Impossible qu'il soit l'auteur dans la version officielle de la mort ! 

 

Mort prétendue de Camille Kolber entre 3:00 et 11:00, avec un poids de 65 kg, indiqué 80 kg par le médecin légiste allemand (version du commissaire principal Christian K.) mais aucune vraie autopsie n'a été réalisé et simple constat du décès a été dressé avec des explications très sommaires et de graves anomalies procédurales : - le poids et l'heure du décès ont été falsifiés par le médecin (qui dans une nouvelle version a estimé le décès intervenu entre 1:00 et 11:00 à la demande du commissaire principal Christian K.) ; - des mentions ahurissantes apparaissent au rapport du médecin légiste dictées par le commissaire principal Christian K. lui-même et reproduites servilement ("la victime était empoisonnée à la cocaïne par son fils adoptif" - sic!) ; - un grand amateurisme dans le calcul de l'heure de décès selon la technique de la température (aucune analyse selon le contenu digestif) ; - la destruction du corps et la remise illégale à Julien K. (source : Parquet de Luxembourg en appel). Un véhicule de petite taille blanche est aperçu le matin jusqu'en début d'après midi par la compagne de la bourgmestre de l'époque, semblable à celle de Marc K. au moment des faits. 

 

11 h 00

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Véhicule noir de type police secrète (Audi A8 ?) vu chez Camille Kolber, près de la cabane à bois (version du bourmestre Arsène M.) et camionnette Volkswagen Combi noire dans l'allée de type police judiciaire (témoignage de trois voisins). 

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11 h 15

Homme blanc, châtain, environ 40 ans, pantalon noir, chemise blanche, traits militaires et sportifs comme ceux de Sébastien Vettel (version de l'ancien maire du village Arsène M.), aperçu à la fenêtre de chez Camille Kolber (13 Killebierg, Hassel), tous les spots de lumière du premier étage étant allumés. L'extrait de la photo de la police ci-dessous montre que le juge Prosper K. - qui a déclaré cette vision "matériellement impossible" aux audiences de la XIIIe chambre criminelle de Luxembourg - n'a pas voulu retenir sciemment ce témoignage car il détruisait totalement le scénario invraisemblable imaginé par le commissaire principal Christian K. (et ses protégés). Pourtant Arsène M. a dit vrai et son témoignage est crédible, malgré la destruction en catimini de la scène de crime par Julien K. et le juge d'instruction Ernest N., empêchant toute reconstitution.  

 

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11 h 30

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Quelqu’un avec la parka et le chapeau de Camille promène le chien Tommy (témoignage de Léontine S. et son compagnon).

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15 h 55

Prétendue 1ère arrivée de Julien K., frère de Camille Kolber, à son domicile du 13 Killebierg à Hassel (version Julien K.) + 1ère découverte du corps par Julien K. Présence inhabituelle à l'église de Julien K., athée et marxiste anticlérical convaincu. Absence du nom sur la sépulture du père Victor Kolber, qui indique bien que Julien K. se moquait bien de l'hommage aux défunts. Mensonge de Julien K. sur la porte d'entrée, qui est condamnée et par laquelle personne ne passait jamais. 

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16 h 25

Prétendue 2nde arrivée de Julien K. avec Norbert K., autre frère de Camille Kolber, et prétendue 1ère découverte du corps de la victime (version frères K.). A noter la description d'un croix à l'envers de l'autre côté de la porte de la chambre de Camille (Julien K. voit au travers des murs ?). 

16 h 30

Appel de Julien K. à son fils Marc K., sis à Contern (10 kilomètres) et aucun appel à la police, ni aux secours.

16 h 40

Appel tardif à la police de Marc K. depuis la scène de mort chez Camille Kolber.

17 h 00

Arrivée de la police chez Camille Kolber : 65 mn après la possible 1ère découverte du corps par Julien K. !!!

02/11/2010

 

15 h 00

 

SMS de Charles-Édouard C. à Jérémy B. au sujet de la voiture à vendre.

 

21 h 30

 

Pascal Kolber est informé de la mort de Camille Kolber par Blanche F.-L. sur Facebook. Tentatives infructueuses de joindre la police luxembourgeoise depuis la France. 

03/11/2010

 

10 h 00

Pascal Kolber appelle le commissaire principal Christian K. de la police judiciaire de Hamm.

05/11/2010

 

14 h 30

 

Rendez-vous de Pascal Kolber avec le commissaire principal Christian K. à la police judiciaire de Hamm : enregistrement des propos accablants du commissaire Christian K. établissant une manipulation politique de la justice.

09/11/2010

 

13 h 00

Pascal Kolber remet des documents accablants pour Julien K. à l’inspecteur Daniel M. de la police judiciaire de Hamm.

21/02/2011

 

Rendez-vous Charles-Édouard C. et Jérémy B. au Citabel de Leudelange.

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06/03/2011

 

Rendez-vous de Charles-Édouard C. et Jérémy B. au Décathlon de Thionville + remise de 4.000,00 euros pour l'achat de véhicule Renault Avantime diesel en Slovénie (version Jérémy B.) / le paiement des travaux au noir au restaurant et à la maison de Jérémy (version Charles-Edouard C.).

08/03/2011

 

Arrestation de Charles-Édouard C. au Luxembourg, par mandat européen d'arrestation en date du 26 février 2011.

09/03/2011

13 h 00

 

Arrestation à Versailles de Pascal Kolber et Jérémy B., par mandat européen d'arrestation en date du 26 février 2011 et mandat ultérieur anti-daté. Tortures avec un four micro-ondes privé de sa porte et utilisation de matériel psychotronique et de neuroleptiques contre Pascal Kolber commis par le commandant de police Christian M. dans les locaux de la police judiciaire de Versailles, avec la complicité du commissaire principal Christian K. de la police luxembourgeoise. Les deux se sont fait faire des certificats de congés, le luxembourgeois un faux en écriture d'un collègue attestant sa présence à Luxembourg (source : Parquet de Luxembourg en appel). 

18/03/2011

8 h 00

 

Transfert de Pascal Kolber et Jérémy B. de la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy à la prison de Fresnes, puis les locaux de la police judiciaire à Hamm, et enfin la prison de Schrassig.

05/07/2011

 

12/12/2011

 

 

Deuxième rencontre à la demande de Pascal Kolber avec le juge d’instruction Vincent F. (contre-offensive). Falsification des P.V. d'audition (source : juge Prosper K.).

 

Destruction de la maison de Camille Kolber (scène de crime) à la demande de Julien K. avec l'autorisation exceptionnelle du juge d'instruction Ernest N. et du Ministère public (juge Martine W.)

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01/10/2013

15 h 00

 

Début des cinq semaines de procès de première instance avec le juge Prosper K. de la XIIIe chambre criminelle. Propos homophobes, antisémites, et antimonarchiques du juge Prosper K. et nombreux incidents d'audience (insultes du juge aux prévenus et avocats, suivies d'excuses publiques). Maintien des menottes des inculpés pendant les cinq semaines d'audience. Falsifications policières en nombre, démontrées par les avocats. Apologie du commissaire Christian K. par la substitut Martine W. 

22/01/2015

16 h 30

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Condamnation à perpétuité par le juge Prosper K. de la XIIIe chambre criminelle. Texte de jugement homophobe, antisémite et xénophobe, émaillé d'humour cynique. 

06/01/2015

15 h 00

Début des cinq jours de procès d’appel.

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10/03/2015

15 h 00

 

Acquittement pour innocence, totalement reconnue de Pascal Kolber et Charles-Edouard C. Maintien des doutes quant à Jérémy B. compte tenu de ses déclarations d'hostilité auprès de tiers envers Camille Kolber en février - mars 2010 (mais cessées par la suite) en réponse au harcèlement et aux tentatives de meurtre commis par Camille Kolber sur sa personne (existence d'un mobile). Mais mobile (neuf mois auparavant) ne veut pas dire culpabilité (un an après) ... et la Cour d'appel a admis que le commissaire principal Christian K. avait fabriqué (sur ordre de qui ?) de la culpabilité, en déformant des faits (souvent anodins), en en inventant d'autres, violant toutes les règles de déontologie de sa profession, pour servir la cause de Julien K. et Robert K. Le Parquet de Luxembourg a relevé en audience qu'il s'était fait faire un faux-témoignage de sa présence à Luxembourg les 9 et 10 mars 2011 (alors que des éléments dans le dossier prouvent qu'il était à Versailles), et avait noué des liens très suspects avec les experts puis les enquêteurs français, dont le commissaire Christian M. de la police judiciaire de Versailles (qui s'était présenté comme un agent de la DCRI). Les faits étant prescrits, ils ne sont pas poursuivis, mais les deux (futurs anciens ?) policiers continuent à réitérer en public les accusations contre Pascal Kolber, en violation de leur obligation de réserve et au mépris d'une décision de justice. Non Annuit Coeptis - Luciferis favente.


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